Plongée sous-marine sportive et milieu subaquatique

Ce livre est un véritable aide-mémoire des principaux accidents et des contre-indications à la plongée liées à des pathologies en ophtalmologie, ORL, odonto-stomatologie, pneumologie ou gynécologie. Un chapitre sur la pédiatrie met l'accent sur les particularités physiologiques du jeune plongeur et un chapitre pratique donne des conseils pour l'examen médical du plongeur.

Le milieu subaquatique est l'un des domaines privilégiés des sports de loisir. En dehors des accidents inhérents à la plongée avec scaphandre, nombreux sont ceux causés par l'environnement que constitue le contexte aquatique. La prévention de ces risques nécessite de la part du médecin comme du moniteur de plongée une bonne connaissance des conditions particulières dans lequel le sportif évolue.

Cet ouvrage est un véritable aide-mémoire des principaux accidents liés au milieu subaquatique. Les premiers chapitres abordent les accidents spécifiques de la plongée à l'air et aux mélanges : accidents de décompression, barotraumatismes, intoxications dues aux gaz, etc. Les chapitres suivants sont consacrés aux risques liés au milieu lui-même : accidents dermatologiques (dus aux animaux marins, aux infections, aux intoxications, au matériel de plongée) et accidents dus à la pénétration dans l'eau (refroidissement et hydrocution). Enfin, les contre-indications aux sports subaquatiques sont détaillées en fonction de la spécificité de la pathologie : ophtalmologique, ORL, cardiologique, pneumologique et gynécologique. Le cas particulier de l'enfant plongeur est largement documenté.

Avec une quarantaine de photos en couleurs, riche de nombreux rappels anatomiques et éclaircissements physiopathologiques, de recommandations et de conseils pour mener l'examen médical, insistant aussi sur la part de la responsabilité médicale dans la prévention, cet ouvrage constitue un guide pratique pour tous les acteurs concernés par la médecine du milieu subaquatique.

Il s'adresse principalement aux médecins du sport et aux moniteurs de plongée, mais aussi aux médecins généralistes ou spécialistes amenés à délivrer des certificats de non-contre-indication ainsi qu'aux plongeurs eux-mêmes.