Portrait de la navigatrice par l'une de ses amies qui a fait sa connaissance en 2009. K. Lokay revient sur les traumatismes de son enfance et de son adolescence, le suicide de son frère en 2001, sa passion pour la mer, la difficulté pour se faire une place dans ce milieu machiste et la reconnaissance. Elle brosse un portrait intime et contrasté d'une femme forte et fragile, joyeuse et dépressive.
À l'été 2009, Kaya Lokay, réalisatrice et productrice, rêve d'adapter au cinéma Un vent de liberté, le récit de Florence Arthaud. Sa rencontre avec la navigatrice est un coup de foudre réciproque. Une relation très forte et singulière se noue, mêlant amour et amitié.
Pendant six ans, Kaya partage l'intimité, les espoirs, les joies et les tristesses, les nuits de fête et les excès de Florence Arthaud. Elle découvre, derrière l'image de la célèbre sportive, une femme pleine d'humanité, d'intelligence, d'humilité et d'humour.
Kaya perçoit une fragilité dont elle comprend peu à peu quelle provient des traumas de l'enfance et du suicide de son frère. Ce témoignage révèle Florence Arthaud telle qu'elle était : généreuse et altruiste, forte et sensible, joyeuse et dépressive. Féministe dans les actes, mais sans discours.
Un portrait intime et inattendu de la « petite fiancée de l'Atlantique ».